Évangile : Multipliant les pains, Jésus se manifeste comme le Prophète (Mc 6, 34-44) Acclamation : (Lc 4, 18cd) Alléluia, Alléluia. Le Seigneur m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération.Alléluia. Évangile de Jésus Christ selon saint Marc En ce temps-là, Jésus vit une grande foule. Il fut saisi de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. Alors, il se mit à les enseigner longuement. Déjà l’heure était avancée ; s’étant approchés de lui, ses disciples disaient : « L’endroit est désert et déjà l’heure est tardive. Renvoie-les : qu’ils aillent dans les campagnes et les villages des environs s’acheter de quoi manger. » Il leur répondit : « Donnez-leur vous-mêmes à manger. » Ils répliquent : « Irons-nous dépenser le salaire de deux cents journées pour acheter des pains et leur donner à manger ? » Jésus leur demande : « Combien de pains avez-vous ? Allez voir. » S’étant informés, ils lui disent : « Cinq, et deux poissons. » Il leur ordonna de les faire tous asseoir par groupes sur l’herbe verte. Ils se disposèrent par carrés de cent et de cinquante. Jésus prit les cinq pains et les deux poissons, et, levant les yeux au ciel, il prononça la bénédiction et rompit les pains ; il les donnait aux disciples pour qu’ils les distribuent à la foule. Il partagea aussi les deux poissons entre eux tous. Ils mangèrent tous et ils furent rassasiés. Et l’on ramassa les morceaux de pain qui restaient, de quoi remplir douze paniers, ainsi que les restes des poissons. Ceux qui avaient mangé les pains étaient au nombre de cinq mille hommes. – Acclamons la Parole de Dieu.

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3° affiche de la pastorale scolaire 2017-2018

Apporter sa part à la création commune

Devant l’ampleur des problématiques auxquelles la société doit faire face, le « à quoi bon» guette et mine l’engagement personnel. «Le jour où les autres s’y mettront, je me dirai que cela vaut peut-être la peine…».

Or, les nouvelles ne sont pas mauvaises d’où qu’elles viennent.

Comme par exemple :

La solidarité et la générosité de nombreux citoyens à l’égard des réfugiés est impressionnante et efficace même si, on en parle pas assez.

L’engagement déterminé d’une multitude de personnes pour la paix, la justice, l’environnement, le bien commun… force l’admiration et donne de l’espoir.

Sans oublier, le succès du film «Demain» et l’enthousiasme qu’il a suscité. Les multiples initiatives citoyennes qu’il a inspirées nous prouvent combien la spirale positive est puissante.

Oui, on peut changer le monde.

Nos rêves d’un monde meilleur sont des utopies réalistes.

Le pari de la solidarité provoque des miracles.

Bonne Nouvelle de Jésus-Christ selon Saint Matthieu :

«Nous n’avons là que cinq pains et deux poissons. Apportez-les moi ici.» (M 14, 17-18). Jésus bénit les pains, les rompit et les donna aux disciples et les disciples aux foules. Ils mangèrent tous et tous furent rassasiés.

On retrouve dans ce texte symbolique les paroles du rituel de l’eucharistie. Ce texte, ce sacrement rappellent que l’amour, la confiance et l’espérance sont des guides pour le chrétien dans son rapport au monde, aux hommes et à Dieu.

La troisième affiche appelle à une école et à une année 2018 où les fruits de la solidarité et de l’amour sont visibles, où la confiance et l’espérance sont contagieuses et inspirent les artistes de la vie.

Les pistes d'animation liées à l’affiche proposent : d’éveiller et de libérer la parole autour de l’affiche, des textes d’auteurs, des références bibliques et une proposition d’animation à partir de l’une d’entre elle et d’autres supports à exploiter tel un chant, une peinture de Berna Lopez et une vidéo.

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