Dernièrement, en voiture, j’ai écouté une émission sur l’économie circulaire. L’enthousiasme de ceux qui parlaient et les projets réalisés m’ont fait rêver. Je me suis dit : "Pourquoi pas une pastorale circulaire dans nos communautés ?".
La crise financière que nous traversons n'est que la partie visible de l'iceberg, le symptôme d'un mal plus profond. C'est toute notre société qui est gangrenée par le capitalisme. Churchill qualifiait d'optimiste celui qui voit une chance derrière une catastrophe. En ce sens, la crise actuelle peut être bénéfique.