La terre, l’eau, l’air et le feu…voici donc les 4 éléments qui seront mis à l’honneur lors de notre grand rendez-vous annuel.
Ils ponctuent nos expressions familières, font partie de notre vie quotidienne et symbolisent notre vie chrétienne et d’Église.
Ce 25 avril, nos jeunes se transformeront en véritables explorateurs partant à la conquête de ces 4 éléments qui, leur offriront 1001 choses à vivre, ressentir, réfléchir et, prendront plus que jamais du sens. Du sens par rapport à leur personnalité, leurs capacités, leurs valeurs, les difficultés et les espérances de leur vie, leurs relations à l’autre, leur rapport au monde et à Dieu.
Des éléments qui les inviteront aussi, bien sûr, à parler de Dieu et à Dieu.
Il y aura le feu : celui qui gronde comme le volcan, explose et est éphémère comme le feu d’artifice, réchauffe et rassemble comme le feu de cheminée ou de camp, éclaire le chemin comme le flambeau, appelle au silence et à la prière comme la bougie. Symbole d’un «Dieu chaleur» qui apporte du réconfort, d’un «Dieu lumière du monde» qui guide et éclaire.
Il y a aura l’eau : celle pure et limpide du ruisseau ou de la rivière, calme et sereine du lac, nourrissante du fleuve de Tibériade, vivante et bouillonnante de la cascade, fragile comme la goutte d’eau, empreinte de rencontre près du puits de la Samaritaine ou remplie de poissons (ichtus) comme la mer. Signe du baptême mais aussi symbole d’un «Dieu source de vie», d’un Dieu qui étanche la soif et donne à boire à ses brebis égarées.
Il y aura la terre : celle fragile et malléable comme l’argile, aride mais offrant un lieu de refuge et de recueillement comme le désert, solide et ancrée comme le rocher, majestueuse, défiante et signe d’alliance comme la montagne, porteuse de vie comme le champ prêt à être labourer. Symbole d’un Dieu qui nous façonne, sème en nous des graines d’humanité et fructifie notre terre aride.
Il y aura l’air : celui indispensable à la vie et que l’on inspire profondément, que l’on retient parfois face aux événements, que l’on rejette dans un grand soupir de découragement ou de soulagement, qui se transforme en vent qui rafraîchit comme la brise légère ou emporte tout sur son passage comme le typhon. Symbole d’un Dieu qui fait descendre en nous le souffle de l’Esprit Saint.
Notez déjà dans votre agenda la date de notre rendez-vous du 25 avril à Eupen et invitez vos jeunes à en faire de même en leur diffusant la vidéo d’accroche.